Ah, les rites de passage hypocrites d'une année (in)civile à l'autre desquels nul ne saurait s'extraire et auxquels encore bien moins échapper. Ce n'est point en 2016 encore que l'on faillira à la règle immuable du menuet tel qu'il se danse à la cour des conspuants.
Comme je l'expliquais à une lectrice en commentaire, mes premiers instants de l'an neuf auront été marqués d'un monumental lapsus clavis shakespearien lorsqu'au lieu de souhaiter une année « à tout péter » (kick-ass year), j'annonçai en fait une année « lèche-cul » (kiss-ass year). Ce à quoi (pure spéculation de ma part), Thom Yorke s'empressait alors de twitter : « La fin des mots creux ».
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